Peut-être est-ce beaucoup plus simple que l'on ne peut l'imaginer, surtout dans un pays sur-protégé contre le terrorisme mais fanatique des armes et des libertés individuelles.
Il suffit d'être au bon endroit, au bon moment, et surtout là où on est pas attendu.
La première faille d'une sur-protection est justement de se croire protégé.
Il n'est pas nécessaire de faire péter des milliers de salles, juste 2 ou 3 emblématiques pour que ça marque les esprits.
Même une suffirait, ils ont avertis, ils sont passé à l'action, ils ont réussi. Même une seule salle qui pète et c'est eux qui gagnent
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