Bref MySQL à force de fork va devenir aussi incontrôlable que Linux.
Rappelons que depuis quelques années, les études de coûts d'exploitation des services informatiques de grandes entreprises ont pointé le fait que Linux était devenu l'OS le plus couteux en entretien en TCO (incluant licences, services après vente, hot line, temps passées en exploitation perdu -
arrêt de production suite à pannes-, ressources complémentaires et administration...) par rapport aux mainframes, aux unix classiques (UP UX, AIX...) et à Windows...
Je sais cela en fera bondir plus d'un, mais c'est la triste réalité de la liberté de faire tout et surtout n'importe quoi....
Loin d’être une richesse,
l’énorme quantité des distributions de Linux (plus de cent à ce jour, parmi lesquelles RedHat, Debian, Suse, Mandriva, Unbuntu, CentOS...) et des multiples versions des différents Linux complexifient de manière démesurée l’exploitation et la maintenance des systèmes. En effet, il devient difficile d’industrialiser la maintenance lorsque l’on est confronté à plus de 200 versions différentes d’un prétendu même système, comme c’est le cas chez la plupart des grandes entreprises ayant massivement adopté Linux dans des temps passés et aujourd’hui contraints de faire machine arrière dans le but de réduire les coûts !
Or il semble bien que MySQL soit en train de suivre cette voie. Souhaitons lui à l'avance bon débarras tant il est vrai que c'est un SGBD peu relationnel, stagnant sur la norme SQL 2 de 1992 (juste 22 ans de retard), peu performant et farci de bugs...
A +
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