C'est quand les Grecs ont vendus leurs CDS que leur dette pouvait s’envoler. Pas avant, puisque le taux élevé de la dette a fait exploser ces produits hautement spéculatif.
Ça ne vous vient pas à l'idée que le truc soit piloté ?
C'est quand les Grecs ont vendus leurs CDS que leur dette pouvait s’envoler. Pas avant, puisque le taux élevé de la dette a fait exploser ces produits hautement spéculatif.
Ça ne vous vient pas à l'idée que le truc soit piloté ?
La Grèce trucs ses comptes depuis 20 ans à un dette de plus de 100% de son PIB mais les problèmes de la Grèce remontent aux CDS ?
Le gouvernement grec n'est en rien responsable d'avoir choisis GS pour la conseillé et avoir suivi ses avis et la marmotte elle emballe le chocolat dans du papier alu?
En plus faire confiance a des personnes qui te permette de trafiquer tes comptes me semble d'une logique implacable.
Si tu regardes bien Déficit grec on voit que le problème de la Grèce ne datte que de 2008.
Je ne suis qu'un pauvre débutant alors ne frappez pas si mes idées ne sont pas bonnes
Saluons le courage d'Alexis Tsipras qui ose demander l'avis du peuple qui a déjà vu son salaire et ses retraites baisser de 40% environ tandis que les prestations publique sont devenues quasi inexistante.
Il me semble que l'objet du blocage porte sur un versement de 418 millions d'€, alors que dans le même temps la Grèce a déjà versé plus de 2.5 milliards d'€ d'intérêts supplémentaire au FMI qui lui prêtait à un taux excessivement élevé.
Notez que Tsipras a annoncé un contrôle sur les mouvements de capitaux.
Je ne suis qu'un pauvre débutant alors ne frappez pas si mes idées ne sont pas bonnes
Le référendum demandé par Tsipras ne porte pas directement sur la sortie de l'UE ou de l'euro, mais sur le dernier accord proposé par l'UE.
Le fait est qu'il a décidé de fermer les banques et de restreindre les sorties d'argent. Pour moi, cela exprime clairement un manque de confiance dans son pays au cas où la sortie de l'UE et de l'euro serait la seule voie.
Au nom du pèze, du fisc et du St Estephe
Au nom du fric, on baisse son froc...
Moi ce qui me parait bizarre quand même c'est de parler de sortie de la Zone €.
Je vois mal comment va se faire la transition. Là on a l'impression que du jour au lendemain pouf je suis plus dans la zone €.
Je ne suis qu'un pauvre débutant alors ne frappez pas si mes idées ne sont pas bonnes
D'après ce que j'ai cru comprendre, si la sortie de l'euro est décidée, il y aura une période de transition d'un an avant que la "neo-drachme" ne se substitue complètement à l'euro. Un peu comme cela s'est passé dans l'autre sens, en fait.
Par contre, je pense que les conséquences sur la vie en Grèce ne seront pas minimes...
Au nom du pèze, du fisc et du St Estephe
Au nom du fric, on baisse son froc...
Tu trouves que les conséquences du coût et du prix déjà payé par les Grecs en restant dans la zone euros sont minimes et sans conséquence? Si on avait dit aux Grecs qu'en restant dans l'UE ils devraient conceder ce qu'ils ont déjà concédé, tu crois honnêtement qu'ils auraient pensés que cela puisse être pire ?
Je rappelle que l'austérité à fait réapparaître des épidémies plus vue depuis la seconde guerre mondiale.
L'austérité tue. Que les Grecs puissent juger s'ils ont plus à gagner ou à perdre en acceptant d'avantages de sacrifices me parait un minimum.
Il semble que le budget primaire (hors charge de la dette) ne soit pas si négatif que cela pour la Grèce. Ils pourront imprimer des billets pour payer les salaires et les pensions. C'est les prêteurs qui vont tout perdre, qui détient encore des obligations grecs ? qui détient des obligations italiennes, portuguaises, espagnoles ou françaises ? Les taux sont repartis en hausse violente, les vieilles obligations vont plonger.
Au delà de l'aspect économique, il faut aussi voir si on n'est pas entrain de jeter la Grèce dans les bras de Poutine avec à la clé une base militaire russe en plein coeur de l'Europe pour envahir l'Ukraine et la Pologne demain.
Comment peux-tu être si sur que ce n'est pas le fait d'avoir perdu leur souveraineté monétaire par l'adoption de l'Euro qui ait entrainé leur chute. Je te rappelle que de nombreux économistes ont pointé du doigt depuis fort longtemps le fait que l'Euro n'était pas viable à long terme. Ce que disaient ces economistes et en train de se réaliser mais selon toi ils continuent de se tromper ?
Car c'est bien ce que tu dis n'est-ce pas. Sans l'Euro la situation grecque serait bien pire.
Je crois qu'il est temps que tu envisages l'inverse. Car admettons qu'ils sortent et que d'ici 2 ou 3 ans cela aille mieux pour eux. On ne sait jamais, après tout c'est un scénario qu'il faut envisager. Qu'en penseront les autres nations ? Quel message le pouvoir en place veut-il faire passer ?
Mais je ne dis pas le contraire. Ce que je dis, c'est que le choix n'est pas évident pour les Grecs. Certes ils ont beaucoup perdu, mais avec une sortie de l'UE et de l'euro, je pense qu'ils risquent de perdre le peu qu'ils ont pu sauver.
Je suis d'accord que l'UE joue mal le coup en Grèce, que l'UE exige des réformes et une meilleure gestion de la part de la Grèce, ça me parait évident, mais il n'est pas normal que les taux soient si élevés. Mettre la Grèce devant ses responsabilités, oui, l'étouffer, non.
C'est en ce sens que Tsipras a raison, mais je ne suis pas sûr que le moyen utilisé soit le bon. Il joue un jeu dangereux, car si le peuple décide de refuser les propositions de l'UE, il se verra très restreint dans ses choix !
Le budget n'est pas mauvais grâce en grande partie au marché européen. Une fois sortis de l'UE, les grecs vont perdre une bonne partie de leurs marchés !
Certes, les prêteurs vont perdre de l'argent, mais bon, vu le taux auquel ils ont emprunté et celui auquel ils ont prêté, je suis sûr que la perte ne sera que prétexte pour des hausses d'impôts ! Je vois bien Hollande nous sortir un "impôt grec" !
Je ne sais pas si Poutine a les moyens de venir en aide à la Grèce. Et, je ne suis pas sûr que ce soit bon pour les Grecs de se retrouver sous la coupe de Poutine !
Au nom du pèze, du fisc et du St Estephe
Au nom du fric, on baisse son froc...
Allez, juste parce qu'on lit vraiment n'importe quoi su ce fil, l'avis d'un économiste un peu plus éclairé que nous :
Lire aussi une traduction d'un de ces blogs (oé, les économistes US ça blog).Pour l'économiste Paul Krugman (photo AFP), éditorialiste au New York Times, «les créanciers continuent de rejeter les propositions grecques au motif qu'elles misent trop sur les impôts et pas assez sur des réductions de dépenses. Nous sommes toujours dans la volonté de dicter la politique intérieure.» Dans deux textes traduits par le site de la révue Regards, le «Nobel» d'économie estime qu'«un Grexit produirait une amélioration rapide de la compétitivité, mais au prix d'un possible chaos financier.»
Franchement quand on suit ça d'un peu près on se rend compte assez vite que les allemands, pardon, l'Europe..., ne veulent pas vraiment d'accord. Ils se sont bien foutus de la gueule des grecs. Mais ça ce n'est pas dans vos médias mainstream que vous le lirez
En fait c'est un problème idéologique. Lesallemandseuropéens ont un problème avec Syriza, qu'ils considèrent comme un gravier dans leur chaussure, car Syriza préfère l'approche keynésienne. Cette approche a été bannie dans les années 80 (années Thatcher/Reagan) et est aujourd'hui considérée comme une hérésie par les élites européennes. Ces élites, avec Schäuble dans le rôle du mâle alpha, ne peuvent pas imaginer qu'une autre approche que celle de la théorie néolibérale classique soit possible. Ils veulent juste se débarrasser de Syriza, c'est leur seul et unique but. Le Grexit ne serait qu'un moyen pour le faire, et ils le feront si nécessaire, mais ils préfèreraient s'en passer.
Cette histoire est en fait assez simple. Elle est rendue complexe par la relative jeunesse des institutions européennes et les nombreuses zones de flou qui existent dans les procédures et les attributions des différents organes de celles-ci. Par exemple, lorsque, samedi dernier, Varoufakis a été exclu de la séance de l'Eurogroupe. Cet épisode qui peut paraître anodin à première vue pose en fait de nombreuses questions sur le fonctionnement de cet organe. On voit aussi que l'Eurogroupe, qui n'est officiellement qu'une instance consultative, est en train d'imposer la politique économique de la zone euro (par le biais de la BCE).
Donc oui, cette histoire est dans le fond très simple. D'un côté on a un pays en faillite qui essaie de sauver les meubles. Aujourd'hui c'est Syriza, hier c'était une coalition droite/gauche, avant-hier c'était une gauche de droite, bref, la chose est simple: un pays est en faillite et tente de s'en sortir, et se voit donc contraint de demander à ses alliés des choses qui ne leur plaisent pas. Cette situation c'est présentée des dizaines de fois, c'est très classique en fait. Ce qui est nouveau, c'est la nature des institutions qui sont en scène, et en particulier le fait que parmi celles-ci, nombre d'entre elles, et pas les moindres, ne sont pas souveraines (au sens de la philosophie du droit).
« L'effort par lequel toute chose tend à persévérer dans son être n'est rien de plus que l'essence actuelle de cette chose. »
Spinoza — Éthique III, Proposition VII
Parce que les Européens n'ont pas confiance aux augmentation d’impôts et pas forcément à tort.
Il est facile de prédire une diminution de dépense (même si parfois on évalue mal les conséquences) mais il est nettement plus difficile de calculé ce qu'un impôts va réellement rapporter.
Tous les pays européens utilise ce subterfuge pour équilibrer leurs comptes et rendre des prévisions plus optimiste que la réalité.
Il me semble que les derniers emprunts concédé à la Grèce sont à 1.5%.
Je ne suis qu'un pauvre débutant alors ne frappez pas si mes idées ne sont pas bonnes
Ha oui, je voulais juste ajouter un truc.
Un pays en faillite qui demande de l'aide à ses alliés, c'est une situation très fréquente dans l'histoire. En général, les pays alliés préfèrent mettre de l'eau dans leur vin et aider le pays en détresse (les cas d'annulation de dette sont fréquent dans l'histoire, même en Europe). C'est un comportement pragmatique, machiavélien oserais-je, car si l'allié fait faillite, alors on perds tout. Alors que si on se débrouille pour qu'il s'en sorte, on aura perdu un peu, mais moins que s'il s'était écroulé.
Le comportement intransigeant des institutions européennes, et en particulier de l'Eurogroupe, montre que le problème n'est pas économique, mais bel et bien idéologique. Il n'est pas question d'argent ici, mais d'idéologie pure et dure. Les néolibéraux actuels sont encore plus dogmatiques que les pires bolcheviks de l'époque stalinienne.
« L'effort par lequel toute chose tend à persévérer dans son être n'est rien de plus que l'essence actuelle de cette chose. »
Spinoza — Éthique III, Proposition VII
Penses-tu que l'UE à défaut d'être une dictature serait une prison pour les peuples ? Emprisonné dans des paradigmes qui font qu'on arrive finalement à cette situation de blocage ?
En fait il n'est pas certain qu'ils en aient vraiment besoin.
Aujourd'hui le budget de la Grèce (hors remboursement de la dette) est en excédent, et vu qu'on est incapable de prédire ce qui se passera en cas de sortie de l'UE ou de la zone euro (conséquence probable si la Grèce refuse de rembourser les prêts)...
http://www.traducteur-sms.com/ On ne sait jamais quand il va servir, donc il faut toujours le garder sous la main
Vous avez un bloqueur de publicités installé.
Le Club Developpez.com n'affiche que des publicités IT, discrètes et non intrusives.
Afin que nous puissions continuer à vous fournir gratuitement du contenu de qualité, merci de nous soutenir en désactivant votre bloqueur de publicités sur Developpez.com.
Partager