« L'effort par lequel toute chose tend à persévérer dans son être n'est rien de plus que l'essence actuelle de cette chose. »
Spinoza — Éthique III, Proposition VII
Le pire c'est qu'il est très pédagogue. C'est le mec qui programme depuis tout petit, qui à 14 ans faisait déja des moteurs 3D (il y a 15 ans donc),...
Il a pas eu besoin de l'école pour connaître même des trucs comme les réseaux de neurones ou la PLC.
S'il avait voulu, il aurait pu être prof. Enfin voila on est hors sujet. J'ai comme l'impression que j'ai blessé quelqu'un.
Il y a une différence entre les regards des gens qui ne programment pas et ceux qui programment.
Perso, il y a toujours matière à recherhce, c'est un boulots qui me plait depuis plus de 7 ans.
faudrait relancer le sujet dans 10 ans pour voir si j'ai changé d'avis.
Si débugger est l'art d'enlever les bugs ... alors programmer est l'art de les créer
On ne sait pas si une personne est pédagogue tant qu'on ne l'a pas vue se confronter à une classe ou à un amphi... et même : tant qu'on n'a pas vu les résultats à long terme sur les élèves / étudiants.
Balèze !C'est le mec qui programme depuis tout petit, qui à 14 ans faisait déja des moteurs 3D (il y a 15 ans donc),...
A mon avis c'est là que tu te trompes. Est-ce que tu peux imaginer la détresse de ce gars hyper fort face à une classe de BTS par exemple, avec des neuneus qui à vingt ans mettent plus de six mois pour écrire correctement la première ligne d'une boucle for en C ?S'il avait voulu, il aurait pu être prof.
Non, il ne sont pas tous comme ça en BTS, mais j'en ai suffisamment vu... et pour aider de tels cas à remonter leur niveau, il est inutile d'être une pointure dans son domaine ou d'être "pédagogue"... il faut juste être odieux et leur botter le cul ! Parce que ces abrutis, tant que personne n'ose leur dire qu'ils sont des abrutis, ils croient qu'ils sont tout à fait normaux et que c'est aux profs qu'il manque une case!!! Et donc avec une telle "logique" ils ne risquent pas de progresser. Si tu enseignes dans une école comme Epitech, qui sélectionne des élèves qui ne sont pas des manches, ou bien si tu enseignes en 2ème ou 3ème cycle universitaire, tu peux t'éclater, tant que tes ambitions pédagogiques restent réalistes... mais partout ailleurs, y compris dans certaines écoles d'ingénieurs prestigieuses, la première qualité qu'il faut pour être un "bon" prof, c'est d'être capable de distribuer des baffes (virtuelles) à tes élèves les plus bêtes ou les moins travailleurs... et enseigner à des BTS ou à des premier cycle de Licence, c'est vraiment un sous-métier dans lequel tu ne fais pas grand chose d'autre que distribuer des baffes. Faut aimer ça. (D'ailleurs j'aime pas vraiment mais j'ai fini par m'y faire)
Donc tu te trompes sans doute lourdement si tu penses que, parce que le gars dont tu parles est très fort techniquement, il ferait nécessairement un bon prof qui tirerait vers le haut ses étudiants. D'où ma réaction à ta phrase dans laquelle tu disais qu'il éclatait n'importe quel prof d'école d'ingénieur. C'est possible en technique pure, et encore, il doit y avoir des prof sacrément balèzes qui font eux aussi des trucs hyper pointus et optimisés (en tout cas il y en a parmi les enseignants-chercheurs des facs qui ne font pas que de la recherche fondamentale, donc je suppose qu'il y a en aussi parmi les profs d'écoles d'ingénieurs)... mais cela m'étonnerait en ce qui concerne l'efficacité pédagogique. On n'est pas bon partout parce qu'on est excellent dans un domaine. La vie serait trop simple.
Non, tu as juste écrit quelque chose qui est sans doute une bêtise.J'ai comme l'impression que j'ai blessé quelqu'un.
Ok. Quand j'ai écrit ça je ne parlais que techniquement, où je le comparais avec les profs que j'ai eu dans toute ma scolarité.
Donc oui j'ai dit une bêtise je suis d'accord et je m'en excuse.
Après oui il est pédagogue avec des gens curieux et motivés. Rien à voir avec une classe ou un amphi mais je ne parlais pas de ça.
Le but de ma petite phrase, c'était juste pour critiquer notre monde du travail actuel où on ne jure que par les diplômes et les étiquettes.
T'es hyper fort mais t'as pas eu les moyens d'avoir un BAC + 5 => t'es sous payé, tu es gêné pour acquérir l'étiquête qui va bien, et on ne te donne pas de responsabilités de ton niveau. On préfère les donner à des gens qui ont acquis cette étiquette grâce à leurs diplômes (et leur expérience, admettons-le) mais dont les compétences sont parfois discutables.
Tu as beau montrer que tu es meilleur, corriger les erreurs des plus "gradés", il n'y a pas la reconnaissance derrière.
Bref, toujours cette déshumanisation, ce formatage forcé, qui je trouve font plus de mal que de bien.
Site perso
Recommandations pour débattre sainement
Références récurrentes :
The Cambridge Handbook of Expertise and Expert Performance
L’Art d’avoir toujours raison (ou ce qu'il faut éviter pour pas que je vous saute à la gorge {^_^})
Oui dans le sens ou tu n'aura pas la même carrière qu'un ingé et surtout pas le même salaire mais en même temps, ces gens la, les doués mais sans le diplôme d'ingé sont quant même "chouchoutés", leur talent est reconnu, d'autant plus qu'ils font du très bon boulot sans avoir le salaire en conséquence.
En tout cas, c'est ce que j'ai vu dans pas mal de boite, il y avait souvent un dev talentueux avec bac + 2, qui faisait un travail formidable et qui enchantait la direction ( d'autant plus qu'ils ne le payaient pas au travail fourni mais au niveau de son diplôme ).
Certains drh ont pas mal d'arguments bidons pour faire faire des économies à leur boites en restreignant les salaires, celui-ci en fait partie. Un autre qui m'a souvent été sorti dans les entretiens d'embauches pour limiter le salaire à l'entrée: faites vos preuves pendant un an et on reparlera du salaire que vous demandez. Dans ces cas il faut mieux aller voir ailleurs si on en a l'opportunité car les promesses aux conditionnelles sont rarement tenues...
Hallucinant d'entendre un discours aussi élitiste et aussi dépourvu d'humanité. Si t'étais prof tu ferais pas longtemps en montrant aussi peu de respect à tes élèves. Je te laisse imaginer quel serait l'adjectif qui reviendrais le plus dans leur bouche si ils parlaient de toi. J'ai enseigné pendant plusieurs années et il faut prendre les gens comme ils viennent avec le niveau qu'ils ont à l'entrée. Il ne faut pas avoir pour ambition d'en faire tous des génies mais de les faire progresser (sinon tu seras forcément déçu), tout simplement, tout en cultivant de bonnes relations humaines et en les respectant.
C'est quand je lis ce genre d'ineptie que je me dis qu'on devrait imposer un permis parentale pour avoir le droit de faire des enfants. J'imagine comment je serais malheureux avec un père qui te ressemblerait.
A mon sens, la reconnaissance manque cruellement en France d'une manière générale.
Les diplômes obtenus sont plus valorisant que l'expérience et le savoir-faire.
J'ai eu l'occasion de rouler ma bosse et dans la plupart des entreprises, je constate le même phénomène : des « vieux » (pas si vieux hein au final, car toujours en âge de travailler) se plaignant de voir des jeunes diplômés prendre des postes de décideurs alors qu’ils ne connaissent pas le métier. Et souvent la même petite phrase qui traine « avant, on gravissait les échelons un à un… »
Et oui mais voilà, aujourd’hui la culture d’entreprise n’est pas la même qu’il y a 20/30/40 ans. Aujourd’hui on parle de flexibilité, de turn-over… Le temps de l’escalade dans l’entreprise est révolu. On change « souvent » d’entreprise et de fait on n’a pas le temps d’apprendre le métier. Et c’est là que le diplôme est brandi bien haut
Et les postes les mieux payés, sont les postes à responsabilité car en théorie, on porte la responsabilité des boulettes faites par l’équipe, qu’en théorie on a plus de savoir, et qu’en théorie on saura diriger pour que tout aille dans le bon sens. De belles théories
Pour ma part, je suis indépendantE (oui, je suis une nana dans l’informatique, et ce n’est pas facile tous les jours avec vous messieurs :p) car je ne veux pas d’autre chef que moi-même (et qu’évidemment, financièrement, c’est tout de même plus sympa).
Que ce soit développeur, chef de projet, architecte et j’en passe, à mon sens, ce ne sont que des collaborateurs. Chacun à son rôle, et il n’y a pas de sous boulot. Je passe moi-même d’un rôle à l’autre sans trop de difficulté parce que ça m’est nécessaire pour continuer.
A mon sens, on ne peut pas se prétendre chef de project, architecte and co, sans connaitre « la base ». La veille techno c’est bien, mais mettre les mains dans le cambouis c’est encore mieux. Ainsi, quand on reprend un rôle de « décideur », on comprend mieux les besoins des développeurs, testeurs et etc.
De plus, le développeur est celui qui réalise le projet. Sans développeur, pas de projet made in France. Bonjour Indiens, Roumains…
Un chef qui se considérerait au-dessus du développeur, est à mon sens un « con » qui sera au bout de 5 ans complétement dépassé par la technique et qui demandera à monter encore plu haut pour se cacher/noyer dans la masse de con qui dirige ce pays
Elitiste, oui, totalement, et sans guillemet autour ! Dépourvu d'humanité... pas autant que ton idée de "permis parental" que je trouve ignoble.
(ce qui suit est un gros racontage de ma life dans lequel je simplifie / grossis le trait / raconte ce qui m'arrange... bienvenu dans le cerveau malade d'un élitiste... je le fais parce que j'ai le temps et parce que je me sens obligé d'adoucir le troll que j'ai peut-être lancé)
Bref.
Je suis prof, je le suis encore, je n'ai jamais laissé tombé un élève, même si c'est de plus en plus souvent en leur bottant le cul que je leur sauve la mise. J'ai fait quelques années de vacations en maths dans des collèges. Une fois, dans un collège catho avec des classes de niveaux, je suis tombé sur une classe de sixième constituée presque uniquement de cas. Troubles de la personnalité en tous genres, problèmes médicaux ou familiaux graves de chez graves, la moitié des élèves dyslexiques, l'autre moitiée incapable de restée concentrée plus de dix secondes. Le directeur de l'école qui, en apparence, se montrait aussi respectueux que toi, accordant avant tout de l'importance à la bonne image qu'il fallait donner à la relation prof-élève, me disait pourtant en apparté que c'étaient que des petits cons qui auraient plus tard des métiers de merde et des vies de merde. Moi, je leur ai botté le cul autant que j'ai pu jusqu'à la fin de l'année scolaire. Je les ai conduits à prendre conscience de leur nullité, à ne pas tolérer l'idée de rester nuls, à vouloir se surpasser pour repousser ses limites intellectuelles et pour casser la figure à une vilaine tendance naturelle à en faire le moins possible. Je leur faisais faire des exercices aussi difficiles que ceux que je donnais aux élèves des bonnes classes, je notais leurs copies avec la même sévérité. Une fois où la moyenne à une interro était anormalement basse même pour une classe comme la leur, je leur ai passé un savon magistral pendant quarante-cinq minutes, en leur montrant point par point qu'ils avaient failli sur des points qui étaient pourtant donnés, au point que j'ai fini par les convaincre mais sans m'en rendre compte sur le moment. A la fin du cours où j'ai donné le savon, je pensais que les parents allaient faire péter le standard du secrétariat, et que le directeur allait me virer le lendemain. Je n'ai pourtant jamais entendu parler de cette histoire ensuite.
Toutes les interros suivantes ont été très réussies. Les deux dernières de l'années scolaires ont eu des résultats à peu près égaux à ceux d'une autre classe de sixième, bonne celle-là, que j'avais.
Mais remontons encore dans le temps...
Quand j'ai débuté, je suis vite devenu très populaire parmi mes étudiants (avant les collèges j'ai enseigné en fac), parce que j'étais ultra respectueux, tout doux, tout ça tout ça, et j'étais reconnu pour la quantité d'explications que je donnais et pour leur clarté.
Les groupes d'étudiants qu'on me confiait ne faisaient pas de progrès pour autant. Ceux qui étaient bons dès le début le restaient. Ceux qui étaient nazes le restaient également, dans 99% des cas parce qu'ils n'avaient pas une bonne attitude face au travail et aucune lucidité sur leurs capacités intellectuelles. C'est aussi ce qu'il se passe dans l'enseignement secondaire : tous ces programmes simplifiés davantage à chaque nouvelle habilitation, tous ces profs si respectueux de leurs élèves, si appréciés par les familles, mais dont les classes, dans l'ensemble, ne progressent jamais.
Puis j'ai durci ma façon de procéder : ne pas donner trop d'explications, l'élève devant être capable, à terme, de se passer de prof. Laisser l'élève qui ne veut pas travailler ou qui manque de neurones patauger... et réfléchir à la bonne manière et au bon moment pour le conduire à se sentir con... c'est quand l'élève se sent con qu'il commence à réagir dans le bon sens. Pas quand on joue les profs compréhensifs.
Il ne faut pas nier que certains se lancent dans des études supérieures d'informatique, denses et ardues, en ayant un QI et / ou une capacité de travail trop petits pour cela. Bien sûr il ne s'agit pas de leur rentrer dedans en hurlant "mais t'es un gros débile, toi, c'est pas possible autrement !!!" (ce n'est pas parce que j'ose écrire des horreurs sur développez.net que je les répète irl, mon objectif final étant bien la réussite de mes élèves). Il faut les mener à prendre conscience de leurs limites pour qu'ils se donnent enfin l'envie et les moyens de les faire exploser. Et ça marche. Mais il faut accepter l'idée d'être un peu abrupt voire brutal face aux plus récalcitrants, j'ai mis des années à m'y faire, mon tempéramment naturel étant "doux comme un agneau". Et si on m'avait très tôt dit que pour être un prof efficace, il fallait parfois malmener les élèves, j'aurais préféré un autre métier.
Pourtant aujourd'hui je ne voudrais pas revenir en arrière.
Suite à une phase de réflexion sur tout cela, qui m'avait pris presque tout un été, je suis "du jour au lendemain" devenu un gros con aux yeux de mes élèves. Adieu la popularité que je m'étais construite au départ. Aujourd'hui je ne suis plus du tout l'enseignant "exceptionnel" que certains collègues avaient vu en moi il y a un peu plus d'une décennie. Je suis un prof banal, râleur, parfois horrible dans mes méthodes* , austère, arrogant si cela peut servir, un vrai prof raté quoi. Seulement depuis que je suis devenu un mauvais prof, je n'ai jamais vu autant réussir les étudiants qu'on me confie. Je suis passé du stade de "bon prof dont les élèves se plantent" à celui de "mauvais prof dont les élèves réussissent" (je caricature, mais c'est statistiquement assez vrai). Je ne voudrais pas revenir en arrière. Vraiment pas.
* cette année il m'est arrivé de laisser plusieurs fois un même élève réfléchir pendant deux heures, en l'observant de loin, en restant glacial, sans lui apporter d'autre aide que des réponses binaires ("oui / non") à certaines questions qu'il me posait... suite à cela il a doublé sa moyenne en programmation et en algorithmique en quelques semaines. J'avais suffisamment bien cerné la psychologie de l'étudiant en question pour savoir qu'il allait survivre à ces épreuves, évidemment. Elitiste mais pas inhumain.
si je fouette mon cheval à sang il ira plus vite que si je lui fait des petites caresses dans la crinière, et ça c'est bien ? la faim justifie les moyens?
paies ta bande de masochiste... encore un bon (futur?) papa à la qui aime bien châtie bien.
C’est pour ça que j'ai plus de relation avec mon père, fallait toujours faire mieux, jamais content, toujours en conflit.
Résultat j'ai trouvé un job à mi-temps pour m'échapper du nid familial tout en finissant mes études.
Je l'ai surpassé dans toutes les disciplines (études, sport: champion de france d'aviron, salaire, vie sociale: j'ai des vrais amis, vie familiale: je passe plus de temps avec mon petit en une semaine qu'il n'en passait avec moi en un mois) mais c'est devenu un inconnu...
C'est un équilibre à trouver. Si tu est toujours gentil, les gens seront gentils, et feignants. Si tu est toujours méchant, Les gens commenceront par bosser...puis casseront complètement.
Le truc, c'est qu'il faut trouver le bon niveau de stress. rares sont les gens qui vont bosser à fond avec zéro stress. Dans le monde du travail, il n'est généralement pas besoin d'en rajouter : quand on sait que tout doit marcher pour vendredi sans faute, alors généralement, on ne lambine pas, et le petit chef qui hurle est hautement contreproductif. Dans l'éducation, c'est différent - surtout à partir de l'adolescence. Les élèves qui ont pleinement conscience de leurs limites et de leur capacités, et en plus la motivation intrinsèque pour aller au bout de leur effort, sont rares.
Donc, il faut les pousser. Ca demande pas mal de psychologie. Ca demande aussi, parfois, de sortir le fouet. C'est l'avantage de la prépa sur la fac : quand tu n'est pas à fond, tu te prends tout de suite le résultat dans la gueule. Et si tes résultats ne sont pas à la hauteur de ton potentiel, le prof te le fera remarquer. C'est dur, oui. Mais ça marche avec pas mal de monde.
On ne fait pas de grandes choses sans se bouger les fesses. Ca fait partie des choses qu'un élève doit apprendre, en plus de sa matière.
Les 4 règles d'airain du développement informatique sont, d'après Michael C. Kasten :
1)on ne peut pas établir un chiffrage tant qu'on a pas finalisé la conception
2)on ne peut pas finaliser la conception tant qu'on a pas complètement compris toutes les exigences
3)le temps de comprendre toutes les exigences, le projet est terminé
4)le temps de terminer le projet, les exigences ont changé
Et le serment de non-allégiance :
Je promets de n’exclure aucune idée sur la base de sa source mais de donner toute la considération nécessaire aux idées de toutes les écoles ou lignes de pensées afin de trouver celle qui est la mieux adaptée à une situation donnée.
si tu fouettes ton cheval jusqu'au sang il va crever. Si tu claques le fouet a coté du cheval (voire parfois sur le cheval quand il commence a faire sérieusement le con), et en le récompensant quand il fait ce qu'on attend de lui, ben ça marche. Le truc, c'est de savoir dans quelles proportions tu dois faire chacun de ces trucs.
Vu la quantité d'élèves fainéants et égocentriques qu'on peut trouver en lycées, confortés dans leur comportement par des parents cons comme des pieds qui pensent que leur gamin est un pur génie et que les profs de profonds abrutis, ben au bout d'un moment, t'as que 2 solutions pour continuer a faire ton cours : soit tu t'imposes aux élèves, en n'hésitant pas à gueuler et a emmerder les emmerdeurs, soit tu les fous dehors / passes en mode dictée-osef-de-ce-que-font-les-eleves. Souvent, un bon coup de pied au cul permet de réveiller certains de ces élèves. Mais bon, faut etre capable de cerner la mentalité de l'élève aussi, certains sont irrécupérables, certains trop fragiles, et savoir doser.
Oui c'est moche dit comme ça, mais caresser dans le sens du poil un collégien, un lycéen, et les étudiants en 1ere et 2e année de fac, ça ne marche pas à tous les coups (voire pas souvent, un prof qui n'est pas capable de s'imposer, c'est un prof qui n'est pas respecté).
Heu les masochistes, c'est pas ceux qui aiment souffrir plutot ?paies ta bande de masochiste...
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