’soir Krop,
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Kropernic
ça n'a pas l'air de déranger MWB et ça m'amuse assez car je me demande comment il s'en sort dans la soute pour généré les scripts de création de DB pour mysql.
Nous utilisons la version gratuite de MWB qui n’a donc pas d’’état d’âme et produit une seule table, donc un résultat faux. Je suppose que la version payante ne laisse pas passer ça. En effet, voici ce qu’on lit à propos des fonctionnalités de MWB :
Mais un concepteur vigilant n’a pas de problème de validation et de toute façon SQL se chargera de le rappeler à l’ordre...
Envoyé par
Kropernic
Que faut-il faire de ce prédicat ? Certes cette affirmation est vraie mais après ?
Ça vous servira quand vous ferez du relationnel dans son environnement naturel, la logique du 1er ordre...
Cela dit, chaque relvar (variable relationnelle) est décrite par son en-tête (l’ensemble des noms des attributs typés qui la composent) :
CONCESSION_CODE_CCD {CCD_ID, CCD_CODE, BRA_ID, SUP_ID, DEP_ID}
Pour simplifier, je n’ai pas fait mention pour cette relvar du type de ses attributs.
De son coté, un prédicat est un énoncé vérifonctionnel, c'est-à-dire prenant la valeur « vrai » ou la valeur « faux ». Dans un 1er temps, le prédicat donne le sens des données décrites par l’en-tête de la relvar :
Le code démo CCD_ID connu de l’utilisateur par le code CCD_CODE désigne la marque BRA_ID fournie par le fournisseur SUP_ID et présente dans le rayon DEP_ID.
Un prédicat correctement formulé montre ce que l’on a précisément compris des règles de gestion dont il est une conséquence.
Dans le cadre de la théorie relationnelle, chaque relvar (y-compris, vue) a son prédicat et la conjonction (ET, AND) de l’ensemble des prédicats représente le prédicat de la base de données. Cette fois-ci on remonte en fait à la logique du 1er ordre de Frege et je vous invite à lire l’ouvrage de C.J. Logic and Databases, The Roots of Relational Theory où tout cela est traité en plus de 400 pages et que je me refuse de synthétiser ici... Retenez qu’énoncer le prédicat d’une relvar met en évidence ce que l’on a compris de cette relvar et ça aide beaucoup pour modéliser : il y a peu, le prédicat de CONCESSION_CODE_CCD était le suivant (et aurait peut-être fait tiquer l’utilisateur) :
Le code démo CCD_ID connu de l’utilisateur par le code CCD_CODE désigne la marque BRA_ID présente dans le rayon DEP_ID.
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Kropernic
A propos des héritages, doivent-ils faire l'objet d'une règle de gestion ?
Bien sûr ! Et le terme « est un » (Is a) est là pour ça. Mais on parle de généralisation/spécialisation plutôt que d’héritage (un sous-type hérite des propriétés de l’entité-type sont il est la spécialisation (ou la généralisation)).
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Kropernic
j'ai remplacé par 1-0..1 partout.
C’est tout bon.
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Kropernic
Un vol est soit une étiquette retrouvée, soit un antivol retrouvé.
Mais alors une étiquette retrouvée est un vol, même chose qu’un antivol retrouvé : attention au vocabulaire, il faut tout de suite prendre de bonnes habitudes : une étiquette et un antivol retrouvés sont des objets retrouvés.
Même chose à propos de la relation Etiquette - Marchandise : une étiquette n’est pas de la marchandise (sauf chez les marchands d’étiquettes et pour ceux qui chez vous en gèrent le stock...)
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Kropernic
Une sortie peut observer une restitution et une restitution est observée par une sortie.
Qu'une sortie ait des yeux, c’est un peu étonnant ! Je suppose néanmoins que la restitution est un petit peu forcée ?
Cela dit, votre diagramme tient la route, je plussoie !
P.-S. Comment vont les gifts ?
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