Bonjour,
profitons de l'actualité pour se poser la question: comment envisageons-nous l'évolution de notre alimentation?
Entre las farines animales, dont l'interdiction vient d'être annulée dans les élevages de poissons, et le minerai de viande, dont on n'aurais même pas fait de la bouffe pour chat il y a 40 ans, on peut se poser la question de ce que l'on avale tous les jours.
Il y a plusieurs points qui ne sont pas simples. Tout d'abord, on pourrait dire qu'il suffit de ne pas acheter cette nourriture malsaine. Mais le fait est que l'on a pas toujours le choix: entre les cantines scolaires, les réfectoires d'entreprise, le temps qui nous manque, nous n'avons pas toujours la possibilité d'y échapper. Sans parler du fait que visiblement, on trouve aussi ces produits infâmes dans les traiteurs, restaurants, et autres petits commerçants de nos quartiers.
Ensuite, les lobbyistes de l'agro-alimentaire nous assurent qu'il n'y a pas de danger (lire par exemple l'article de RTBF dont j'ai fourni le lien ci-dessus). Mais de nombreux problèmes ont surgi ces dernières années alors qu'on nous disait qu'il n'y avait pas de risque. On se souvient de la vache folle, mais bien d'autres problèmes moins médiatisés surgissent régulièrement (voir par exemple le documentaire "we feed the word").
Il y a aussi le problème de certains aliments qui nous sont vendus et qui agissent comme des drogues. Certaines sucreries contiennent des concentrations de sucre qui sont tellement élevées qu'elles ont des effets proches de certains psychotropes sur nos cerveaux, et provoquent des addictions (voir addiction alimentaire). Idem pour certains aliments salés.
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