Je vais me faire l'avocat du Diable : il n'a pas tort, c'est indémontrable formellement. Par contre, ce qu'il omet de dire (ou qu'il ignore), c'est que le GIEC ne cherche pas à démontrer l'origine anthropique du réchauffement climatique constaté depuis le début de la révolution industrielle, mais calcule la probabilité qu'elle le soit à partir des données scientifiques. Dans le dernier rapport, la probabilité est de 95% (90% dans le précédent).
Si on décide de ne rien faire sur la base de ces 5%, c'est un choix politique, mais ça n'est certainement pas raisonnable...
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