Bonjour,
@ dba01
Avec seabs, notre but n’était pas de modéliser les relations des entreprises (ou de celles de leurs clients) avec les établissements bancaires : ceci est le rôle des équipes fonctionnelles dans les entreprises, qu’elles s’appellent TOTAL, AXA, MICHELIN, DGI, etc., et fait l’objet du dossier de conception, validé par la MOE et la MOA. Pour notre part, nous nous situions au niveau de la base de données, à un stade où le fonctionnel est donc entériné et notre réflexion portait sur tout autre chose : une table réputée en BCNF peut elle violer celle-ci après ajout d’une clé ? Faut-il continuer à appliquer le théorème de Heath ?
seabs aurait très bien pu présenter ses structures de tables de façon plus abstraite, en sorte que l'émotion ne vienne pas polluer l'exposé :
T1 (A11, A12, A13, ..., A1n)
T2 (A21, A22, A23, A24, ..., A2m, #A11)
En précisant le cas échéant quels attributs sont artificiels ou naturels et autres particularités : la teneur de nos échanges (portant sur le besoin d'une clé supplémentaire) aurait été la même et vous vous ne seriez pas senti obligé d’intervenir. A combien de messages passionnés aurions-nous eu droit si, par exemple, thomine avait utilisé les termes "banque", etc. ?
Maintenant, rien ne vous empêche de rédiger un billet chez DVP, à l’intention des étudiants, pour les initier à la modélisation correcte des relations entre les banques, les clients, les comptes, les opérations, que tout cela vu soit du client soit de la banque, en précisant bien que vous situez au stade de l’architecture fonctionnelle et non pas de celle de la base de données. Les plus jeunes ont besoin de l'expérience des plus anciens.
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dba01
Ca date de quand le RIB ? 30 ou 40 ans ? Plus vieux que vos langages !
C'est-à-dire ? Vous me rappelez un entretien à la TV entre André Frossard et un journaliste qui lui posait la question suivante :
« Maître, quels sont les rapports entre Science et Religion ? »
Réponse de Frossard : « Ce sont les rapports qui existent entre la Compagnie du gaz et Léonard de Vinci. »
Cela dit, « mon langage », celui dont je me sers pour exprimer mes idées, pour ensuite les traduire en logique du 1er ordre façon Gottlob Frege (1848-1925), puis façon calcul de tuples (ou de domaines), puis en Tutorial D et le cas échéant en SQL (Sorry Query Language, langage hybride datant de 1975), est d’abord le français, en application de l’ordonnance de Villers-Cotterêts (1539), édictée par François Ier (RIP).
Envoyé par
seabs
Pour moi, il n'y aucune ambiguïté, je fais bien la distinction entre la normalisation appliquée aux bases de données et les normes qui sont validées par différents organismes ISO, AFNOR, etc.
Je n’en ai jamais douté !
Envoyé par
seabs
Merci à vous deux pour vos interventions. Je considère ma demande comme résolue ?
Sans problème. Et n’hésitez pas à poser d’autres questions, en précisant bien que l’on n’en est plus au stade fonctionnel...
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