Discussion :

[Loceka]

Il y a déjà trop de libertés et c'est pour cela qu'on est la m***e.

Totalement d'accord, d'ailleurs je me demande ce qu'ils attendent pour instaurer un couvre feu le soir, comme ça y'aurait plus de bande de jeunes qui traineraient et qui crameraient des voitures.
Et des séquestrations arbitraires ce serait pas mal aussi, comme ça les gens réfléchiraient à deux fois avant de faire quoi que ce soit.

D'ailleurs je ne comprends pas pourquoi les policiers n'ont pas le droit de tirer à vue et sans sommation sur les automobilistes en excès de vitesse.

Franchement, on a trop de libertés.

[Jon Shannow]

Totalement d'accord, d'ailleurs je me demande ce qu'ils attendent pour instaurer un couvre feu le soir, comme ça y'aurait plus de bande de jeunes qui traineraient et qui crameraient des voitures.
Et des séquestrations arbitraires ce serait pas mal aussi, comme ça les gens réfléchiraient à deux fois avant de faire quoi que ce soit.

D'ailleurs je ne comprends pas pourquoi les policiers n'ont pas le droit de tirer à vue et sans sommation sur les automobilistes en excès de vitesse.

Franchement, on a trop de libertés.

C'est bien de balancer des trucs énormes, juste pour faire passer les autres pour des c***

[grafikm_fr]

par contre je suis persuadé que des espaces de libertés sont nécessaires à la cohésion sociale dans un pays ou le pouvoir d'achat est en berne.

Au contraire, les sorties de crises et les bonds économiques se sont toujours accompagnées (ou se sont faites à travers) une approche plus autoritaire et des "serrages de vis" à tous les niveaux.

Cf. les USA dans les années 30 ou la Corée du Sud.

[Marco46]

Au contraire, les sorties de crises et les bonds économiques se sont toujours accompagnées (ou se sont faites à travers) une approche plus autoritaire et des "serrages de vis" à tous les niveaux.

Cf. les USA dans les années 30 ou la Corée du Sud.

Ah euh ... Tu dois parler de la guerre ? Je veux dire la guerre en général. C'est la guerre à chaque fois qui a permis le boom économique. C'est terrible mais c'est la triste vérité.

[Invité]

Au contraire, les sorties de crises et les bonds économiques se sont toujours accompagnées (ou se sont faites à travers) une approche plus autoritaire et des "serrages de vis" à tous les niveaux.

Cf. les USA dans les années 30 ou la Corée du Sud.

Je pense qu'on peut trouver beaucoup de contre exemples... De la renaissance italienne aux économies d'europe de l'est post 89, en passant par l'espagne post Franco et aux trente glorieuses en europe occidentale et au Japon.

Même la Chine aujourd'hui, bien que ce ne soit pas exactement un paradis de liberté, a un gouvernement nettement moins autoritaire qu'en 81, quand la croissance a commencé. Il y a eu un serrage de vis juste après 89, et la croissance s'est arrêtée.

Francois

[el_slapper]

(.../...)Même la Chine aujourd'hui, bien que ce ne soit pas exactement un paradis de liberté, a un gouvernement nettement moins autoritaire qu'en 81, quand la croissance a commencé. Il y a eu un serrage de vis juste après 89, et la croissance s'est arrêtée.

Francois

en Chine, ça se limite à un premier ministre plus "équilibré" entre "harmonie" et "liberté"(et loin d'être un vrai démocrate quand même), mais il a effectivement quelqu'effet. On verra en 2012 quand les durs reprendront les 2 postes clefs, contre un seul actuellement, ce qu'il en est réellement.

[grafikm_fr]

Ah euh ... Tu dois parler de la guerre ? Je veux dire la guerre en général. C'est la guerre à chaque fois qui a permis le boom économique. C'est terrible mais c'est la triste vérité.

Le New Deal a permis de stopper la chute et l'explosion sociale. Et le New Deal, c'était aussi des chômeurs mis dans des camps de travail tout simplement parce qu'ils étaient au chômage.

Quand à la Corée du Sud, va falloir m'y montrer une guerre entre les années 60 et 70 (et non, le face-à-face avec la Corée du Nord ne compte pas).

[Marc_27]

Voilà le systeme que marche, selon vous:

« Le problème est que les artistes interprètes ne reçoivent rien, que ce soit sur le streaming, ou les webradios, ou sur la vente de morceaux à la demande… » a ainsi expliqué Bazin au journaliste de La Tribune lui demandant ce qu’il pensait du développement des offres légales sur la toile.

Mais pourquoi les artistes ne perçoivent-ils rien ? « Ils touchent un cachet une fois lors de l’enregistrement, et ne touchent plus rien après (…) Ils abandonnent tous leurs droits numériques, car hélas ils ne sont pas en position de force face aux producteurs. »

C’est là tout le paradoxe de la situation actuelle. Plus les ventes sur Internet se développement, souvent au dépend des ventes de CD, plus les revenus des producteurs augmentent, à l’inverse de ceux des artistes. Ces derniers peuvent certes se rattraper grâce aux concerts, mais cela n’empêche pas la Spedidam d’appeler à une réforme législative afin de « garantir une rémunation » aux artistes.

http://www.pcinpact.com/actu/news/65...inter.htm?vc=1