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Cloud Computing Discussion :

Google veut doper l'adoption professionnelle de ses Google Apps


Sujet :

Cloud Computing

  1. #1
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    Par défaut Google veut doper l'adoption professionnelle de ses Google Apps
    Google veut doper l'adoption professionnelle de ses Google Apps
    Et mise sur un réseau de partenaires-revendeurs de plus en plus important




    Souscrire aux Google Apps for Business est on ne peut plus simple. Il suffit d'ouvrir un compte et un domaine. Les applications hébergées sont alors immédiatement accessibles et fonctionnelles.

    Cela, c'est pour la théorie.

    Dans la pratique, ce genre de choix implique très souvent de la part des entreprises une migration (de Outlook et Exchange vers Gmail par exemple), ou une articulation avec l'existant (entre Microsoft Office et Google Docs pour citer un autre exemple fréquent).

    Se pose alors pour le décideur la question du « comment faire concrètement ? ». Et surtout : « à qui s'adresser ? »

    Google est très clair sur ce point. « Nous ne sommes pas des prestataires de services », rappelle Pascal Pignon de Google France, pour qui que le cœur de métier de Google est d'être un fournisseur de technologies innovantes. Pas un intégrateur.

    Ce qui ne veut pas dire pour autant que Google se désintéresse de ses clients finaux. Dans le modèle de distribution qu'il met en place, il existe bien une « Deployment Team » maison qui accompagne les plus gros projets. Mais la tâche de migration revient de plus en plus à son réseau de partenaires.

    « Les grands comptes nous contactent encore directement, puis dans un deuxième temps nous les dirigeons vers nos partenaires. Pour les plus petits, la majorité se fait déjà en indirect », constate Pascal Pignon. Une évolution également confirmée par le récent lancement d'un nouveau programme de certification.

    Si toute personne peut devenir revendeur, force est cependant d'admettre que sur ce marché en pleine expansion, ce sont les gros acteurs qui s'imposent. Parmi eux, citons deux français, Revevol et gPartner, qui ont récemment accompagné Malakoff Médéric et Aviva dans leurs migrations.

    Ces deux « gros » revendeurs français (Revevol vise les 450 millions d'euros de chiffre d'affaires à l'horizon 2015) expliquent cependant qu'ils sont tout sauf des mastodontes. Le déploiement d'une solution Cloud de Google demande en effet beaucoup moins d'effectifs que pour des solutions sur sites. Ces acteurs d'un nouveau type évaluent qu'il leur faudrait 10 fois plus de ressources s'ils utilisaient des moyens traditionnels (comprendre « qui ne sont pas liés au Cloud Computing »). Concrètement, gPartner compte aujourd'hui « seulement » une quinzaines de collaborateurs pour environ 1,5 million d'euros de chiffre d'affaires.

    Des start-ups françaises prometteuses qui croient au Cloud ? Oui.

    Mais pas à tout le Cloud.

    Que ce soit gPartner ou Revevol, les deux sociétés ont choisi de ne revendre que des technologies Google, et uniquement des technologies Google. « Google est le leader de ce marché », explique Lionel Grivel, Directeur Associé chez gPartner, « c'est un pari, mais nous avons décidé d'accompagner le numéro un ». Même son de cloche chez son confrère de Revevol : « il faut savoir choisir son cheval ».

    Au risque de devenir dépendant d'un seul fournisseur ? L'argument est balayé par Laurent Gasser, Directeur Général de Revevol. « Un concessionnaire Mercedes-Benz ne vendra pas de BMW, ce serait incohérent. Et bien pour le Cloud, c'est la même chose ».

    Un choix tranché, donc, mais qui n'est pas imposé par Google. Pour preuve, une société comme VivaSoft est à la fois Revendeur Agréé Google et membre de la Zoho Alliance Partner. « Nos partenaires sont libres de revendre d'autres technologies », souligne Pascal Pignon. « Mais ces autres offres ne sont pas les mêmes ». Comprendre pas 100 % Cloud, pas assez simple (pour Office 365) ou pas aussi bien conçues (pour la suite de productivité Zoho).

    Mais le choix d'un fournisseur unique pour les revendeurs s'explique aussi autrement. Gérer à la fois des déploiements d'Office 365 (ou BPOS) et des déploiements de Google Apps demande beaucoup plus de moyens. Là encore, le message de ces prestataires certifiés est clair : les gros intégrateurs traditionnels font tout - certes - mais lorsqu'il s'agit des Google Apps, les nouveaux acteurs font mieux.

    « Nous taux horaires sont plus chers que Cap Gemini ! », rappelle Laurent Gasser, qui explique que ce prix est justifié par la valeur du service délivré. « Simplement nous ne facturons jamais de missions de plusieurs semaines. En quelques jours tout est réglé et fonctionnel ». Et le coût final moindre.

    Les contraintes techniques ne sont pas les seuls problèmes à régler lors d'une migration. Derrière la simplicité promise par le Cloud, se cache également une autre complexité, souvent sous-évaluée. Celle de l'accompagnement des utilisateurs lors de la transition.

    « Nous étions très inquiets », confirme Sylvie Bloch, Responsable des équipes support chez Aviva, « il y avait un risque de résistance au changement ». Un risque qui a imposé d'envisager des formations complémentaires aux nouveaux outils. Un besoin auxquels ces nouvelles sociétés (Revevol a été fondée en 2006, gPartner a bouclé son premier exercice en 2009) répondent également.

    Si ces sociétés facilitent le passages à des solutions hébergées, le Cloud continue néanmoins à susciter des questions (confidentialité, sécurité, disponibilité, coût final) chez les développeurs et certains décideurs. Des questions que ces professionnels rencontreraient de moins en moins. « Tout le monde n'est peut-être pas fait pour ces technologies », concède cependant Lionel Grivel. « Je n'irai pas proposer ces solutions à Safran ou Dassault Système », confirme Laurent Gasser, qui sait que ces industries ne font pas rentrer le Cloud, surtout public, dans leurs feuilles de route.

    Mais une chose et sûre, dans l'esprit de Google et de ses partenaires, ce marché est l'avenir de l’informatique. Un marché où « ce ne seront pas les gros qui gagneront contre les petits, mais où le rapide gagnera contre le lent », conclue Pascal Pignon.

    Ou comment adapter les Fables de La Fontaine au milieu IT.


    Source : Développez.com

  2. #2
    Membre actif Avatar de chris81
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    Quelle joie de se retrouver cité conjointement à des sociétés comme Revevol et GPartners. Merci à l'auteur !

    En effet VivaSoft est membre de Zoho Alliance Partners mais ne propose que l'intégration et la formation sur la CRM Zoho. Tout ce qui est mails, documents, groups le meilleur restant Google Apps !

    Merci et bonne journée,

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